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Au commencement...
Jean-Pierre Lescot (France) © Compagnie Jean-Pierre Lescot
Un spectacle d'ombres balinaises présenté en 1969 à l'Espace Pierre Cardin va véritablement bouleverser Jean-Pierre Lescot, orientant définitivement sa carrière artistique. Suite à ce qui a été pour l’artiste « une véritable révélation, un choc émotionnel d'une rare intensité », il engage son premier voyage vers l’Extrême Orient, arpentant les routes de la Thaïlande, Bali et de Malaisie, avec le désir de peaufiner son regard sur le théâtre d’ombres, habité par un besoin viscéral d’enchantement.
"C'est dans ces pays, d'ailleurs, que j'ai ressenti mes plus belles émotions. Souvent, nous étions dans un champ, la nuit, à voir et entendre un spectacle qui se déroulait dans une ambiance quelque peu envoûtante. Je me souviens de cette musique répétitive « du Gamelang » et des intonations de la voix du montreur d'ombres qui vous transporte dans un autre monde. Je me suis beaucoup intéressé à tous les aspects de ces spectacles, à l'ensemble de leurs signes théâtraux qui semblent avoir été créés pour illustrer l'image parfaite de signes mis en harmonie : un sentiment de suspension du temps et de beauté."
Le monde réel ne semblait plus suffire. « Nous avons besoin d’images pour entrer en résonance avec le travail d’humanité qui nous a précédés ».
Au commencement...
Jean-Pierre Lescot (France) © Compagnie Jean-Pierre Lescot
Un spectacle d'ombres balinaises présenté en 1969 à l'Espace Pierre Cardin va véritablement bouleverser Jean-Pierre Lescot, orientant définitivement sa carrière artistique. Suite à ce qui a été pour l’artiste « une véritable révélation, un choc émotionnel d'une rare intensité », il engage son premier voyage vers l’Extrême Orient, arpentant les routes de la Thaïlande, Bali et de Malaisie, avec le désir de peaufiner son regard sur le théâtre d’ombres, habité par un besoin viscéral d’enchantement.
"C'est dans ces pays, d'ailleurs, que j'ai ressenti mes plus belles émotions. Souvent, nous étions dans un champ, la nuit, à voir et entendre un spectacle qui se déroulait dans une ambiance quelque peu envoûtante. Je me souviens de cette musique répétitive « du Gamelang » et des intonations de la voix du montreur d'ombres qui vous transporte dans un autre monde. Je me suis beaucoup intéressé à tous les aspects de ces spectacles, à l'ensemble de leurs signes théâtraux qui semblent avoir été créés pour illustrer l'image parfaite de signes mis en harmonie : un sentiment de suspension du temps et de beauté."
Le monde réel ne semblait plus suffire. « Nous avons besoin d’images pour entrer en résonance avec le travail d’humanité qui nous a précédés ».